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2727, 08, 2025

Bastide Niel : ÉVA, une résidence pensée autour de l’alimentation durable

À Bastide Niel à Bordeaux, la résidence ÉVA, portée par le promoteur SOPIC, accueillera un ensemble de services pensés pour répondre aux besoins du quotidien des habitants. Conçu par Yohan Hubert, fondateur de Natura Impact, ce projet dote un pied d’immeuble d’une offre alimentaire accessible et de dispositifs favorisant les usages partagés, l’inclusion sociale et la qualité de vie.

ÉVA : Un projet né d’une réflexion sur les usages urbains

Le projet développé par Yohan Hubert et la résidence conçue par SOPIC partagent le même nom : ÉVA.

L’idée du projet ÉVA mené en collaboration avec SOPIC est née d’une interrogation centrale : que doit proposer un programme immobilier en 2025 pour répondre aux attentes réelles des habitants ? Selon Yohan Hubert, « aujourd’hui, notre quotidien se concentre là où nous habitons, plus que là où nous travaillons ». Fort de ce constat, le projet ÉVA met l’accent sur l’alimentation, la socialisation et les services adaptés aux modes de vie post-Covid.

Pensé comme une extension du logement, ÉVA articule plusieurs services mutualisés en proue de la résidence. L’objectif est de répondre aux besoins alimentaires, sociaux et fonctionnels des habitants, tout en restant accessible aux riverains. « Ce n’est pas un club privé, insiste Yohan Hubert, c’est un lieu ouvert, adapté à la diversité des usages et des profils ».

Dans cette dynamique, un déjeuner-débat a été organisé par Yohan Hubert sur le site de Bastide Niel afin d’échanger avec les acteurs locaux sur les enjeux & le coût de l’alimentation du quotidien.

ÉVA : Une alimentation du quotidien, accessible et circulaire

Au cœur du projet, une coopérative résidentielle d’achat alimentaire repose sur un principe simple : permettre à toutes & tous d’accéder à une offre variée et à bas coût. Des vitrines connectées, alimentées par les commerçants implantés en pied d’immeuble de la résidence (restaurateur, boulangerie, épicerie), proposeront chaque soir à partir de 19 heures des paniers de produits périssables à prix réduit, jusqu’à -70% pour les produits avec les dates limites de consommation les plus réduites.

Un automate permet d’accéder librement à ces paniers, sans abonnement. Le dispositif se veut circulaire : les invendus non retirés partent au compost, valorisé in situ par Natura Impact. Selon son fondateur, il s’agit de « créer une offre du quotidien, fonctionnelle et ancrée dans le territoire ».

Par ailleurs, l’offre alimentaire comprend également un restaurant flexitarien, une supérette de moyenne gamme et des espaces de restauration partagés, adaptés aux repas collectifs. Une table de grande taille permet d’accueillir des repas de famille, répondant ainsi au manque d’espace dans les logements.

ÉVA : Des services mutualisés pour une vie quotidienne simplifiée

Afin de s’ajuster aux besoins des habitant.e.s souvent sédentaires ou en télétravail, ÉVA propose une gamme de services mutualisés : café du matin, coworking, casiers connectés pour la réception de colis 24h/24, salle de détente avec équipements de remise en forme, laverie, bibliothèque partagée et jeux de société accessibles en libre-service. Tous ces dispositifs visent à transformer l’immeuble en « lieu de vie complet ».

L’accès à ces services ne repose sur aucun engagement : les habitants utilisent ce qu’ils souhaitent, sans surcoût intégré aux charges. Ce modèle, expliqué par Yohan Hubert, repose sur une économie frugale : « nous prélevons une part minimale sur les ventes ou services gérés, ce qui rend l’ensemble autonome et pérenne ».

Une architecture pour la ville de demain

La conception architecturale de la résidence ÉVA prévoit des cours paysagères, des espaces verts, des bacs potagers et deux rooftops accessibles aux habitants.

Au-delà de la résidence, le projet est ouvert sur le quartier. Il s’agit, pour son initiateur, de créer un lieu non stigmatisant, accessible à toutes les classes sociales. « Nous souhaitons favoriser le lien et la mixité sociale. Ce qu’on veut, c’est un endroit où tout le monde se sente bien », rappelle Yohan Hubert.

Une coopération construite sur le temps long avec SOPIC & la SAS Bastide Niel

Le projet ÉVA est le fruit d’un travail de plusieurs années entre Natura Impact, SOPIC et la SAS Bastide Niel portée par BMA, Aquitanis & Domofrance. Sélectionné après une mise en concurrence, SOPIC a choisi de collaborer avec Yohan Hubert et ses partenaires dès les premières étapes de conception.

Le financement de l’expérimentation a été rendu possible grâce à l’engagement du promoteur et au soutien des acteurs de la SAS Bastide Niel. Si la livraison de la résidence est envisagée à l’horizon 2028, pour être opérationnel en vue d’être dupliqué, le modèle sera mis en œuvre par étape dans les prochains mois. « Nous sommes prêts à déployer cette approche dans d’autres projets, avec d’autres promoteurs ou collectivités. Notre ambition étant d’offrir une réponse très concrète aux nouveaux modes de vie des habitants », souligne le fondateur de Natura Impact.

1919, 08, 2025

À Bastide Niel, la résidence ÉVA repense l’habitat
autour de la lumière et du partage

À Bordeaux, dans l’écoprojet Bastide Niel, lagence MFR Architectes conçoit la résidence ÉVA, un ensemble résidentiel de 214 logements en accession libre et de 410 places de stationnement pour le promoteur Sopic dont la livraison est prévue en 2028. Plus dexplications avec les architectes François Malburet, Ines Costa, Khadija Benyahya.

Résidence ÉVA : Une silhouette sculptée dans le ciel bordelais

Avec ses sept bâtiments organisés autour de deux ensembles principaux répartis sur 13 862 m² de surface de plancher, le projet ÉVA situé entre les rues Jeanne Barret, Emilie du Châtelet et Françoise-Hélène Jourda, constitue lun des programmes les plus importants de l’écoprojet Bastide Niel à Bordeaux.

En cœur d’îlot, deux ensembles principaux reposent sur un socle filant atteignant le R+5, sur lequel émergent sept plots indépendants de huit étages chacun. Selon François Malburet, « le jeu de volumes — socle filant, plots en émergence — permet desquisser une skyline lisible tout en instaurant un rapport plus humain à la rue ».

En complément des 214 logements, 410 places de stationnement seront réalisées, réparties dans les socles des bâtiments résidentiels, sur un à trois niveaux selon les plots.

Ces stationnements ne sont pas exclusivement réservés aux habitants de la résidence, puisquune partie dentre eux répond aux besoins de la ville.

Résidence ÉVA : Une structure mixte pour habiter la pente

Pour répondre aux exigences du plan-guide — notamment celles portant sur les pentes de toiture et les limites de gabarit — lagence a imaginé un projet structuré autour dun corps central en béton, « pris en sandwich par deux exosquelettes », explique François Malburet.

En effet, la structure principale repose sur un système poteau-poutre en béton, complété par des remplissages en panneaux béton.

Les balcons sont quant à eux conçus comme des structures légères en bois rapportées sur cette base. Ainsi, le bois compose lexosquelette extérieur visible côté rue, tandis que la structure arrière, en béton, répond aux contraintes de sécurité liées à l’évacuation incendie.

Ce jeu de superposition permet ainsi de dessiner des terrasses généreuses et très profondes de 2,50 mètres, qui prolongent chaque logement vers lextérieur.

Résidence ÉVA : Des logements traversants et ouverts sur le paysage

Le programme comprend 214 logements en accession libre, répartis de la manière suivante :

  • 36 T1
  • 86 T2
  • 37 T3
  • 39 T4 (dont certains en duplex)
  • 16 T5 (dont certains en duplex)

Chaque logement bénéficie dau moins un espace extérieur de 10 m² minimum. Par ailleurs, certains logements disposent de plusieurs terrasses, car l’ensemble est conçu pour garantir une qualité dusage quotidienne : « traversante ou en double orientation : lumière naturelle abondante et ventilation naturelle sont au cœur de la conception », précise François Malburet.

« Même les T1 sont traversants. C’était lun des points majeurs du projet », poursuit Khadija Benyahya, chargée de projet chez MFR.

Résidence ÉVA : Des balcons végétalisés et des jardins en pleine terre

« Lidée, cest que le végétal soit un fil conducteur du projet, depuis lespace public jusquaux logements », commente Inês Costa, directrice de projet.

Ainsi, outre la générosité des espaces privatifs, lagence a porté une attention particulière à lintégration du végétal.

En premier lieu, chaque balcon est équipé de jardinières intégrées, parfois maçonnées.

Ensuite, des bacs potagers partagés sont répartis au rez-de-chaussée dans les cours paysagées, ainsi que sur certaines coursives communes.

Ces jardins sont aménagés en pleine terre, rendus possibles grâce à lintégration des parkings dans les socles des bâtiments plutôt quen sous-sol.

Le paysagiste Jardin Perché assure la conception et le suivi de ces aménagements, pensés comme des grands  îlots de fraîcheur accessibles.

ÉVA, une résidence pensée autour de l’alimentation durable

En proue de l’îlot, le projet accueille un volume distinct dédié aux commerces et aux bureaux. Il regroupe une surface commerciale en rez-de-chaussée et deux niveaux de bureaux au-dessus. Ce bâtiment sinscrit dans le gabarit général tout en assumant une écriture propre, avec notamment une charpente ajourée en toiture, conçue pour masquer les équipements techniques.

« Ce volume agit comme une transition avec la ville active, tout en reprenant certains codes du projet résidentiel, comme la pente à 45° », remarque François Malburet.

👉 En complément, ce socle accueillera aussi une offre alimentaire durable et des services mutualisés, pensés pour les habitants et les riverains. Plus d’explications à retrouver dans l’article EVA, un projet résidentiel pensé autour de l’alimentation durable.

Par ailleurs, une terrasse accessible, aménagée dans un retrait entre deux volumes, est pensée comme un espace extérieur partagé pour les usagers du tertiaire.

« Cest un jardin de seuil, une forme de politesse vis-à-vis du voisinage et une respiration pour les futurs usagers », ajoute larchitecte.

Des engagements environnementaux concrets

Lensemble du projet Eva sinscrit dans les ambitions de la ZAC Bastide Niel en matière de performance environnementale. Ainsi, les logements sont conçus en conformité avec les exigences du label Frugal Bordelais, raccordés au réseau de chaleur géothermique et en toiture, des panneaux photovoltaïques seront installés sur les versants les plus favorables à la production.

« Nous avons estimé la puissance à 81 kWc, ce qui permettra de couvrir une partie des besoins énergétiques du bâtiment », indique François Malburet.

Une coopération fluide avec la SAS Bastide Niel

La conception d’Eva a donné lieu à un dialogue constant entre les architectes, la maîtrise douvrage (Sopic) et la SAS Bastide Niel. Des ateliers de travail ont permis dajuster les partis architecturaux tout en respectant les intentions du plan-guide.

« La confiance sest instaurée très vite. Il y avait une vraie ambition sur ce site, et nous avons pu avancer avec sérénité », souligne François Malburet. « Il a fallu faire preuve dastuce, mais nous avons toujours trouvé des solutions. »

« Habiter plus, mieux, au-delà »

Porté par la réflexion de MFR autour du logement augmenté, le projet Eva explore trois dimensions complémentaires :

— Habiter plus : de vastes halls, des locaux vélos accessibles et ventilés, des ateliers de réparation modulables…
— Habiter mieux : logements traversants ou doublement orientés, séjours cathédrales, balcons spacieux, celliers, chambres alcôves, cuisines éclairées naturellement…
— Habiter au-delà de chez soi : terrasses partagées, vues ouvertes, lien avec les espaces publics et le paysage urbain.

« Le patrimoine du logement ne se limite pas au seuil de son appartement», souligne François Malburet. « Il inclut aussi les paliers, les halls, les espaces partagés, la qualité de la lumière, le paysage. »

606, 08, 2025

King Kong construit 119 logements et une ferme urbaine à Bastide Niel

Rue Hortense, dans le quartier Bastide Niel à Bordeaux, latelier King Kong réalise pour Marignan et Aquitanis, la résidence «Home», un ensemble de 119 logements en accession privée et locatif social ainsi que des locaux associatifs et commerciaux. Organisé autour dun patio suspendu végétalisé, le projet, dont la livraison est prévue en 2026, se distingue par lintégration d’éléments patrimoniaux issus danciennes charpentes métalliques industrielles et par une ferme urbaine qui occupe le cœur d’îlot. Plus dexplications avec les architectes Paul Marion et Jean-Christophe Masnada.

Une architecture pensée pour la lumière et la durabilité

Haut de cinq étages & réparti sur deux bâtiments pour une surface de plancher totalisant environ 9995 m², le projet «Home» repose sur une structure en béton et sur une charpente métallique.

«Cette charpente nous a permis de dessiner une toiture habitée, avec des découpes franches, des hauteurs sous plafond variables et des percées qui ouvrent à la lumière», commence Paul Marion.

La façade et la toiture (qui accueillera également des panneaux solaires) seront revêtues de grandes plaques de céramique claire afin d’offrir à l’œil une continuité visuelle, interrompue à la base par des vitrages en rez-de-chaussée derrière lesquels se situeront des locaux associatifs et commerciaux.

Enfin, tout comme l’ensemble des projets de la ZAC Bastide Niel, la résidence sera reliée au réseau de chaleur géothermique Plaine de Garonne.

Des éléments patrimoniaux intégrés à l’architecture

Entre les deux bâtiments, les architectes ont choisi de conserver une part visible de l’histoire du site. En effet, à l’emplacement de la ferme urbaine [voir encadré ci-dessous], subsistaient les vestiges d’une ancienne structure métallique industrielle.

Plutôt que de les faire disparaître & conformément aux attentes de la SAS Bastide Niel, les équipes de l’atelier King Kong ont procédé à un travail minutieux : les charpentes métalliques ont été démontées pièce par pièce, nettoyées, traitées contre la corrosion, puis seront au sein de la ferme urbaine remontées à lidentique.

«Il ne restait que les structures, mais elles racontaient une occupation passée du lieu. Nous avons voulu les inscrire dans le projet comme un marqueur lisible», raconte Jean-Christophe Masnada.

Cette même attention patrimoniale se retrouve d’ailleurs dans l’écriture architecturale du projet. À ce titre, les façades reprennent certains codes industriels, notamment à travers la répétition des hangars et des grandes verrières, qui rappellent le vocabulaire des anciens ateliers ou entrepôts.

Des logements sociaux et en accession libre

La résidence compte 119 logements et propose une mixité sociale assumée, avec 79 appartements en accession libre et 40 en locatif social.

Du T1 au T5, les appartements ont été travaillés pour offrir à la fois fonctionnalité et qualité dusage et sont distribués de la manière suivante :

En accession libre (Marignan) :

  • 13 T1;
  • 17 T2;
  • 27 T3, dont 2 en duplex;
  • 18 T4, dont 7 en duplex;
  • 4 T5, dont 1 en duplex.

En locatif social (Aquitanis) :

  • 2 T1;
  • 8 T2;
  • 17 T3, dont 5 en duplex;
  • 10 T4, dont 1 en duplex;
  • 3 T5.

Tous les logements disposent d’au moins un espace extérieur : loggia, balcon ou terrasse dont les surfaces varient de 4 m² à 60 m².

«Nous avons cherché à proposer des lieux de vie agréables à vivre, traversants ou doublement orientés, avec une forte qualité d’usage au quotidien», souligne Paul Marion.

Ainsi, environ 95 % des logements sont traversants ou disposent d’une double exposition, ce qui favorise la lumière naturelle et la ventilation.

Au rez-de-chaussée, 1400 m² sont dédiés à des commerces de proximité et à un bureau associatif. Un local à vélos de 320 m² vient renforcer l’ancrage du projet dans une logique de mobilité douce.

Un jardin suspendu au cœur de l’îlot

Au premier étage, un patio végétalisé de 590 m² structure les circulations résidentielles et l’accès aux logements. Entièrement conçu par King Kong, il constitue un espace de respiration et de rencontre à l’abri de la rue.

«Ce patio fonctionne comme un seuil partagé. Il permet de relier les logements à un espace ouvert, tout en favorisant les vues et les continuités de lumière», explique Jean-Christophe Masnada.

Un dialogue suivi avec la SAS Bastide Niel

«Nous avons eu des relations de travail très sereines avec la SAS Bastide Niel, mais aussi avec les interlocuteurs techniques et les urbanistes», indique Jean-Christophe Masnada qui évoque «une écoute» et «un respect du projet d’architecture» qui ont permis à l’équipe de King Kong «de faire évoluer le dossier sans difficulté».

Des éléments comme la ferme urbaine, par exemple, ou encore le patio central ont été «accueillis favorablement» dès les premières phases de conception.

Une ferme urbaine à l’échelle du quartier

Insérée entre les deux bâtiments de la résidence, la ferme urbaine d’une surface d’environ 800 m2 vient occuper un vide laissé volontairement dans le volume initial. Cette respiration au cœur de la parcelle permet d’installer un espace de culture hors sol, visible depuis le patio central par une large ouverture de façade.

Pensée dès les premières phases du projet, cette ferme répond à un double objectif : offrir un usage agricole de proximité, et inscrire le projet dans une dynamique plus large de production locale en ville. «On a creusé dans la masse pour faire apparaître un vide, une faille dans laquelle cette activité pouvait s’installer», explique Paul Marion.

Cet espace se distingue également par un traitement architectural singulier : les charpentes métalliques d’origine, soigneusement démontées puis restaurées, ont été remontées à l’identique dans la ferme. Les murs qui l’entourent ont quant à eux reçu un revêtement peint de couleur jaune, choisi pour affirmer visuellement cette séquence du projet et lui donner une identité propre.

2929, 07, 2025

Bastide Niel : 180 nouveaux arbres prévus pour l’hiver 2025

180 arbres ont été marqués début juillet 2025 aux pépinières Daniel Soupe. Leur plantation est prévue cet hiver à Bastide Niel, dans le cadre de la campagne de végétalisation menée par A+R Paysages, Bordeaux Métropole et la SAS d’aménagement Bastide Niel composée de Bordeaux Métropole Aménagement, Domofrance & Aquitanis.

Déjà 245 arbres plantés !

Cette nouvelle opération prolonge la démarche initiée en 2019 avec la plantation des 23 premiers arbres à Bastide Niel. Depuis 245 arbres ont été plantés, confirmant la volonté d’inscrire la végétalisation au cœur de l’aménagement du quartier.

Objectif : 1 800 arbres et 3 000 arbustes

À terme, l’EcoProjet Bastide Niel comptera 1 800 arbres et 3 000 arbustes. Ce programme de plantation vise à améliorer le confort urbain, favoriser la biodiversité et renforcer l’ombrage dans le quartier.

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